:Pendant que les pays du monde circonspect sur les moyens d’une mondialisation efficace face aux défis futures de survie, certains centrafricains et pseudo centrafricains marchent sur leurs têtes, réfléchissent à l’envers et cherchent les bonnes stratégies pour ramener la République Centrafricaine au moyen âge. A cet effet, ils n’hésitent pas sur les stratégies et tactiques qui lèsent amèrement leurs frères et sœurs de centrafrique.
Condoléance à toi Ô Centrafrique. L’amassement des réfugiés centrafricains au Sud du Tchad et partout ailleurs est l’emblème de victoire des rébellions armées qui sévissent dans la désolation. Elles ont toutes une même devise : rébellion par les armes pour construire le pays. Qui a dit que les armes peuvent contruire un pays? Qui a dit un jour que « Celui qui tuera par l’épée, ne périra pas aussi par l’épée ».
Ils ont transpercés la République Centrafricaine de l’Ouest-Nord, Nord-Centre-Nord, Nord-Est en bon citoyens exemplaires, semant l’hécatombe de la désolation chez les paisibles innocentes familles centrafricaine, les poussant comme des oiseaux migrateurs en migration sans lendemain dans la boue de l’inconnu et ouvrant ainsi grandement une porte d’occupation à l’Est-Sud de Centrafrique aux éléments récalcitrants de la LRA de Joseph Koni. Ainsi la LRA applique la notion de : « Tuez vos frères, nous vous aidons vers Sud à Obo » s’accomplisse sans souci majeur.
Si ce n’était le fleuve Oubangui, la République Centrafricaine serait presque le noyau d’une ceinture des rebellions répugnantes. Ce qu’ils oublient tous, c’est que LE FAUTEUIL DU POUVOIR n’est pas banc de l’église qui accepte toutes les fesses rebelles et récalcitrantes. Une chose est sure, tous ne pourriez l’occuper à la fois, car c’est UN fauteuil conçu pour UN.
Plusieurs rébellions + plusieurs visions = DIVISION certaine avant, pendant et après... Il n’a y qu’en Afrique qu’aux 21 siècles, certains frères assoiffés de gain sordides, sous le coup de la chaleur des rayons solaires, limités à court terme dans les idées, se métamorphosent aux pions des jeux de Dames, troquant illicitement par accords sordides les richesses minières convoités de Centrafrique à certains mafieux occidentaux pour leur ventre et ceci au détriment conscient des pauvres familles.
Qui vous a dit que vous en bénéficierez ? L’histoire nous a toujours montrée la fin des brebis galeuses d’Afrique. L’Arme à feu au point n’a jamais été une solution, encore moins une rébellion ne le sera. Où est Samuel DOH ? Complétez la liste…
Rien n’est plus précieux que le dialogue. Seule, la PAROLE a toujours fléchi les tenaces. Un ancien chef d’Etat avait dit : « SIRIRI, SIRIRI rien que SIRIRI, pika Patrâ » … « PAIX, PAIX rien que la PAIX par le dialogue » et certains ont répondu : « On ne mange pas le SIRIRI ». Je ne suis pas un politicard, mais certaines vérités véridiques mérites d’être en fluorés.
Tous ont compris que malgré l’abondance de nourriture et rançon de kidnappage, sans la PAIX la digestion n’est pas catholique.
Si vous aimez la République Centrafricaine, au tant en persévérant dans l’acte qui inonde le pays du sang, percevrez dans l’insistance du respect des résolutions de la concertation.
Car seul le dialogue pourra libérer le pays.
GREKOSSO GBEKPA
Article publié le mardi 31 mars 2009
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