Sur ce, les groupes armés et agents de l’Etat cohabiteront pour assurer la sécurité et surtout le retour des services sociaux de base. À moyen terme, on pourra constater une présence, par exemple, de l’Etat dans la localité de Kidal, actuellement aux mains des rebelles.
Le document fixe aussi un calendrier de mise en place des autorités intérimaires, du redéploiement de l’administration d’Etat, des services techniques comme l’énergie, l’éducation et la justice.
Article publié le mercredi 15 juin 2016
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