L’ex-champion d’Afrique 1988 explique ainsi qu’il est chargé de décortiquer des rencontres et de remettre des rapports techniques au sélectionneur. Mais sur le terrain, son implication dépasse largement ce cadre. « Je pensais que je ne serais plus sur le terrain pendant les entraînements, que je garderais un œil à travers les tribunes. Mais malheureusement, on est toujours sur le terrain. On anime les séances quand le coach nous demande de le faire. »
Derrière ce constat, Omam-Biyik glisse un message clair : il souhaite mettre son expérience d’ancien avant-centre de classe mondiale au service des attaquants camerounais. « Moi, j’aimerais bien qu’il y ait une séance de finition, qu’on me confie ce travail. C’est là où je peux permettre à des attaquants de s’améliorer. »
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Reste désormais à savoir si Marc Brys accédera à cette demande, lui qui doit déjà composer avec l’absence forcée de son adjoint Joachim Mununga les jours de match, en raison d’une décision ferme de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), malgré les pressions du technicien belge et du ministère des Sports.
Article publié le lundi 22 septembre 2025
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