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Ces propos ont été tenus lors d’un point de presse tenu par le président de l’Union nationale du patronat mauritanien, au cours duquel il a passé en revue, en chiffres, les recettes des impôts et des douanes imposées au secteur privé au cours des dernières années.
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Il a souligné que l’importation de riz a progressivement diminuée, grâce à l’augmentation des surfaces cultivées et à la construction d’usines de décorticage, qui ont atteint 30 usines.
Dans ce contexte, il a souligné que les efforts privés dans le domaine du riz n’auraient pas été possibles sans les efforts des autorités publiques, qui ont fourni des engrais à hauteur de 50 %, raccordé la plupart des périmètres à l’électricité et exempté les intrants agricoles des droits de douane, en plus de l’augmentation des superficies cultivées avec 6900 hectares, notamment à R’Kiz et dans d’autres régions du pays.
Article publié le lundi 12 août 2024
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