Craintes de la domination des fenêtres et du clonage du scénario l’année dernière Le Maroc se dirige pour importer des moutons vivants d’Australie, selon la plate-forme « Sheep Center ».La même source a cité le PDG de l’Australian Sheep Exporters Council (ALC), Mark Harvey Soton, qu’une mission marocaine en Australie pour négocier l’achat de 100 000 moutons vivants par an, indiquant que le Maroc est cet accord « une priorité urgente », quelques semaines avant l’Aid Al -adha.La même source a ajouté que le Maroc pourrait importer jusqu’à 100 000 moutons vivants par an, avec la possibilité d’augmenter ce nombre à l’avenir, expliquant que « l’objectif est actuellement axé sur les moutons, mais le protocole de santé permet également l’exportation de vaches et de chèvres par air au Maroc ».Selon la même source, le Conseil de l’ALEC a confirmé que les expéditions dépendent de la demande mondiale, mais il y a suffisamment de navires disponibles pour servir le marché marocain et que les importateurs marocains ont exprimé leur désir d’obtenir des moutons australiens vivants dès que possible.La même source a cité Mark Harvey Soton, que « la demande marocaine montre que les marchés florissants ont encore besoin d’un bétail australien, » notant que le Maroc « doit renouveler ses troupeaux après la sécheresse, et l’Australie, avec sa marche à haute qualité et son état de santé sans santé et ses fournitures fiables, en bonne position pour répondre à cette demande. »Selon la même source, Tawfiq al -ashabi, directeur du développement de la série de production au ministère marocain de l’agriculture et à la tête de la mission marocaine, a confirmé que le royaume a un besoin urgent de moutons, de chèvres et de vache Capacités, ce qui réduit les défis liés à la distance entre les deux pays.Ahmed Al -Bouari, ministre de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural, de l’eau et des forêts, a révélé que le troupeau national du bétail avait diminué de 38% par rapport à l’année 2016 au cours duquel le recensement national du secteur agricole a été mené, soulignant l’existence d’une «grave pénurie de production de viande».Ce fut l’annonce d’Ahmed Al -Bouari, sur l’exacerbation de la crise du bétail, environ trois mois avant la date de l’Aïd Al -adha, qui reflète la demande croissante d’importation de bétail à ce moment particulier.Bien qu’un certain nombre de ceux qui s’intéressent aux affaires agricoles aient attribué le gouvernement à l’importation de bétail après l’effondrement du troupeau national et la baisse de la production animale, aux résultats catastrophiques du « Maroc Green », qui l’a favorisé comme une stratégie Certaines personnes influentes dans ce secteur vital la continuation d’autres facteurs qui contribuent à des prix élevés, tels que les coûts de production élevés et la baisse de la production locale, et les commerçants déchaînés d’événements, de courtiers et de spéculateurs.Ils ont fortement critiqué l’absence de soutien gouvernemental aux éleveurs de moutons locaux et leur manque d’intérêt à améliorer les pâturages et à fournir des aliments à des prix raisonnables, et à lutter contre le monopole et la spéculation dans ce domaine vital. Ils ont également accusé le gouvernement d’encourager le modèle agricole orienté d’exporter au détriment du style de consommation, ce qui a réduit et réduit les cultures vivantes, et elle menace la sécurité alimentaire, dénonçant l’encouragement de l’épuisement des cultures d’eau pendant que le royaume connaît un état de stress hydrique avec la succession des années de sécheresse. Happy Ait ou plus

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