Il est surtout question de débusquer les publications qui bénéficient de la publicité ANEP et qui ne sont même pas distribuées, leurs propriétaires préférant généralement céder les quotas imprimés à ceux qui font dans la récupération du papier. Beaucoup parmi les 150 titres agrées officiellement, n’ont pas apparemment d’existence réelle.
Rédaction web
Article publié le mercredi 20 octobre 2021
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