2M s’intéresse aux jeunes porteurs des projets et lance l’opération « Challengers ».
Salah Chakor.
La 2éme chaîne marocaine de télévision, 2M, estime que ce n’est pas uniquement la musique, les chants…, qui peuvent intéresser les jeunes. C’est aussi et surtout la création de l’entreprise qui doit les motiver à plus d’un égard. C’est pourquoi le staff de 2M lance un programme dédié aux porteurs des projets intitulé Challengers, destinée aux jeunes de 18 à 35 ans, désireux créer leur propre entreprise. C’est un grand défi que de devoir se retourner vers les jeunes entrepreneurs. Cette initiative louable dont le principe est simple, appelle les jeunes à participer intensivement à l’opération et à déposer leur dossier dans l’un des bureau de la chaîne dans les régions de : Rabat, Casa, Fez, Oujda, Tanger, Marrakech, Agadir et Laayoune.
Les dossiers ayant trait aux nouvelles technologies seront plus privilégiés.
Cette initiative « Challengers » se veut comme école pour la formation à la création de l’entreprise et une opportunité de découverte de talents. L’opération a également l’intérêt de développer l’économie nationale par un encouragement personnel des jeunes de 18/35 ans qui doivent apporter leurs compétences à la construction du tissu économique.
Les principaux critères de sélection seront surtout basés sur :
• l’originalité, * l’innovation, *l’engagement personnel, *la capacité du jeune à se vendre en public.
Les spectateurs auront à juger le candidat sur sa capacité à convaincre d’abord, et après sur la consistance du projet proprement dit.
Un grand réseau s’offre donc au candidat sur un plateau ambitieux.
L’important est de montrer à nos jeunes que c’est possible de réussir, il faut seulement avoir de la volonté. Le principal objectif est aussi de rendre le sourire et l’optimisme aux visages des jeunes diplômés chômeurs, au moment où les micro crédits leur franc succès et où la création de l’entreprise devient un nouveau stimulus pour les jeunes. Ce concept est donc une excellente opportunité à saisir pour une autoformation et pour se faire valoir dans un monde dit de mondialisation économique.
Article publié le Saturday, April 9, 2005