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Maroc

Nécessité d'une coopération dans le domaine de la formation hôtelière avec les pays arabes. ( une vision verticale mais aussi horizontale)

 Le Maroc a depuis une décennie, conclu des opérations des coopération dans le domaine de la formation Hôtelière et Touristique, avec les pays Européens, notamment, avec le France, le Belgique, L’Allemagne, l’Espagne, la Suisse…etc. de ces partenariats ont découlé de très bons résultats. D’ailleurs le Maroc, s’apprête bien à ce genre d’échanges avec les pays voisins de la méditerranée et en particulière avec ceux de l’Europe. Le Maroc est un pays, comme disait feu SM Hassan II qui a les racines en Afrique et dont le feuillage effleurent l’Europe.

Si cette coopération Maroco- européene a été une réussite, en amant et en aval dans les domaines du Tourisme sous toutes ses formes et ses tendances, un partenariat avec les pays Arabes doit se voir au centres des préoccupations de nos centre responsables dans le secteur de la formation professionnelle Hôtelière et Touristique à tous les niveaux.
L’enracinement n’est-il pas ce qui permet au feuillage de l’arbuste davantage de verdoyance ?.

Ce manque décelé concerne également la publicité touristique dans le monde Arabo-africain.

Ces pays exportent un tourisme très important vers l’occident, alors que des échanges peuvent avoir lieu entre eux d’abord et de manières fructueuses. Ces dernières années le nombre des arabes qui sont partis en vacances à l’étranger a attend 41%,c’est énorme comme chiffres, d’où la nécessité d’encourager la continuité de ces voyages vers les pays arabes pour se découvrir les un les autres.

Ainsi on se voit par fois dans l’obligation de poser des questions du genre : quel est notre part du marché touristique Arabe en comparaison avec l’Egypte, la Tunisie, pour ne citer que ces deux pays ?.

Selon les statistiques du groupe Starwood, les touristes saoudiens occupent la 3éme place quant aux arrivées sur le sol Egyptien. les arrivées en provenances des pays arabes ont atteint pendant le mois de décembre 2002 le nombre de 166000 touristes.

C’est pour cette raison que la formation professionnelle dans les pays arabo-musulmans doit être tractée avec attention, car, surtout en Egypte, c’est un produit qui s’exporte vers d’autres pays de la région ; en particulier vers ceux du golf.

Partant de cette donnée, et de l’expérience du Maroc dans ce domaine, du fait que l’Egypte présente un champ d’application fertile en hôtellerie-tourisme, par son développement de stations grandioses a Sharm el chéckh entre autre, une coopération bilatérale est souhaitable.
Les principaux axes de cette coopération concerneront en particulier :

- L’échange d’expériences dans le domaine de la formation spécifique du Tourisme et de l’hôtellerie.
- La formation des cadres moyens et supérieures
- Echanges des stagiaires et de formateurs
- Echanges des programmes et de know how de l’ingénierie de la formation.

Par nostalgie et par amour de notre pays, une réalité enviable ne cesse de nous préoccuper en tant qu’opérateurs de la formation.

Si l’Egypte est notre concurrent dans le domaine de Tourisme et si le pays des pharaons est en avance sur nous au niveau de l’industrie du voyages, alors pourquoi ne pas profiter de son expériences ?

Le Maroc avait, à un certain moment exporté ces compétences vers l’Europe, et pourquoi pas vers l’orient, à présent pour constituer une complémentarité, car très proche de notre civilisation de notre culture et parlant la même langue, celle du coran. Un transfert d’expériences est facile donc rapide.
Sincèrement, cela est réalisable dans les deux sens, seulement il suffit d’une volonté des décideurs d’une part et de l’importance accordée au secteurs des deux cotés, d’autres part.
La cohérence des visions dans ce domaine est une nécessité. Avec une simple opération du calcul on constate que le Tourisme dans les pays Arabes, représente environ 42% en Egypte, donc avec un doublement d’effort on peut améliorer ce taux et l’étendre à d’autres pays arabes et augmenter le PIB en l’occurrence améliorer le niveau de vie des citoyens.

 


Article publié le Monday, March 21, 2005